Musée Parc des Dinosaures et de la Préhistoire Mèze

34140 HERAULT FRANCE

Mars 1996 : Découverte du site, un très grand nombre d’œufs de dinosaures et de pontes en place montrent que la région était occupée pendant près de 10 millions d’années par différentes espèces de dinosaures (-71 à -65 millions d’années).

Les études scientifiques menées par plusieurs chercheurs dans le monde dont Mme VIANEY-LIAUD de l’Institut des Sciences et de l’évolution de Montpellier II ont abouti à la mise en place d’une taxonomie (classification d’éléments concernant un domaine) parallèle, dont l’utilisation permet aujourd’hui de traiter les coquilles d’œufs de dinosaures comme des fossiles à part entière.

Février 1998 : Découverte d’une importante couche fossilifère contenant des ossements de dinosaures à proximité de plusieurs nids.

Cette découverte exceptionnelle pourrait permettre aux paléontologues de pouvoir déterminer les différentes espèces de dinosaures qui pondaient leurs œufs à la fin du crétacé (-67 millions d’années) sur l’île Franco-Ibérique qui correspond aujourd’hui au sud de la France et au nord de l’Espagne.

Juin 1998 : Les fouilles effectuées dans l’enceinte du Musée-Parc ont permis de mettre au jour le plus petit œuf de dinosaure carnivore du monde (-68 millions d’années) : 7 cm de long et 4,5 cm de diamètre, nommé « PRISMATOOLITHUS Caboti ».

juin 1999 : Sur ce site exceptionnel les découvertes se succèdent,
ainsi l’équipe du musée des dinosaures de Mèze et l’université de Montpellier II découvrent une nouvelle espèce de dinosaures :
ANYLOSAURE – NODOSAURIDAE – « STRUTHIOSAURUS »

Herbivore quadrupède de 3 m de long
(-75 millions d’années, Crétacé supérieur) Campanien. Ce dinosaure a été mis au jour dans les marnes grises correspondant au fond d’un lac du Crétacé supérieur. ce squelette posé sur un lit de végétaux, était entouré de différentes espèces de tortues, crocodiles et poissons. Les nombreux ossements retrouvés ont permis de reconstituer le squelette de ce dinosaure cuirassé, recouvert de plaques osseuses et armé de grosses épines sur le dos.

Jusqu’à ce jour des œufs beaucoup plus gros à coquilles prismatiques ont été découvert en Mongolie et aux USA où ils ont été attribués à un dinosaure carnivore nommé « Troodon » ; les scientifiques étudiant le site de Mèze pensent que cet œuf pourrait appartenir à un petit carnivore de la famille des « Dromaeosauridés » mesurant de 1,50 m à 2 m de long.

Les études scientifiques menées par plusieurs chercheurs dans le monde dont Mme VIANEY-LIAUD de l’Institut des Sciences et de l’évolution de Montpellier II ont abouti à la mise en place d’une taxonomie (classification d’éléments concernant un domaine) parallèle, dont l’utilisation permet aujourd’hui de traiter les coquilles d’œufs de dinosaures comme des fossiles à part entière.

janvier 2005 : découverte rare,
une ponte exceptionnelle composée de 7 œufs de dinosaure herbivore, non éclos, bi-stratifiés (2 épaisseurs de coquilles) nouveau texte